Les voies bleues, consommer la fête avec modération

Une action de prévention des pratiques festives a débuté sur Aurillac avec une campagne d’affichage dont le graphisme a été réalisé par les BTS communication du lycée Émile Duclaux, à l’occasion des sorties scolaires et le vendredi 19 décembre en partenariat avec les Bars et Discothèques, les taxis d’Aurillac, le CODES 15, l’ANPAA 15, l’APT, l’IFSI, le Service de Pédopsychiatrie, Accent Jeune, la ville d’Aurillac, la Communauté d’Agglomération et la Préfecture.

Voies bleues

De 20h30 à minuit un stand d’accueil et d’information sera ouvert sur la place du Square où seront diffusés des messages de prévention et seront organisées des rencontres en direction des jeunes et des familles pour ces soirées fortement alcoolisées. De minuit à 2h00 du matin des messages dans les lieux privilégiés de consommation des jeunes, à la fois dans l’espace public, les bars, les boîtes de nuit de 2h00 à 5h00 du matin avec un point d’écoute et d’information Place Gerbert.

Elus et associations

Les chauffeurs de taxi d’Aurillac s’associant à cette opération mettront 2 taxis à disposition Place Gerbert pour des retours sur la communauté d’agglomération du bassin d’Aurillac avec un tarif unique à 2 € par personne

Les élus et responsables d’associations de prévention veulent sensibiliser les jeunes et les parents sur les méfaits de l’alccool et des polytoxicomanies, sur leurs dangers et les conséquences dont l’incivisme (Halte à l’incivisme avec la Fédération de l’Hôtellerie) avec des dégradations ou des nuisances sonores souvent dues au comportement (suite aux effets de ces consommations), aux risques d’accidents et de santé.

Suite à ces  » addictions licites et illicites « , pour les responsables de ces actions qui seront reconduites dans un contexte de prévention , ces derniers souhaitent responsabiliser les jeunes et les parents en les informant et en offrant des services pour le respect de l’espace public avec cette opération citoyenne. Elle a pour but d’ harmoniser l’espace de la rue. pour Pierre Mathonier , adjoint de la ville : » La notion de fête ne va pas avec l’ivresse, lorsque ce n’est plus la fête, on ne sait plus ce qui s’est passé « .

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